Mon Repair’Shop est une entreprise de l’Economie Sociale Solidaire et Circulaire engagée dans la préservation des ressources naturelles et la création d’emplois non délocalisables
Souscrire des parts sociales chez Mon Repair’Shop
Mon Repair’Shop est désormais une SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif). Son capital variable permet la souscription de parts sociales de manière illimitée, et il est ouvert à tous, selon le principe “un souscripteur = une voix” .
- Vous pouvez ainsi participer à la vie de l’entreprise au sein d’un des 4 collèges établis dans nos statuts (bénéficiaires, partenaires, soutiens financiers et bien sûr salariés).
- Vous bénéficiez un crédit d’impôt de 25% sur le montant de votre souscription (au moins jusqu’au 31/12/2022).
- Vous misez sur une jeune entreprise qui crée de l’emploi local, qui est fortement contributrice de l‘économie circulaire, et qui a la volonté d’essaimer sur le territoire sous forme de franchise sociale.
- Notre pari étant compliqué, souscrire, c’est aussi prendre le risque de perdre une partie des fonds investis.
Rejoignez les premiers souscripteurs qui croient en nous !
Nos proches, nos artisans, nos bénéficiaires qui croient dans le projet, ont choisi d'épargner éco-responsable et sont devenus nos premiers sociétaires. Plusieurs institutions nous suivent, et de grands noms de la distribution nous intègrent dans leurs plans en faisant le pari de l'économie circulaire. Avec 50 000 € : nous pérennisons pour longtemps notre activité établie sur les sites de Saint Hilaire de Clisson et Pornic, en investissant dans des outils évitant aux salariés de se blesser (hayon, exo-squelette ...),et embauchons sans risque notre premier salarié sur Pornic. Avec 100 000 € : nous embauchons une personne de plus pour assurer le développement de deux nouvelles antennes sur le territoire, et revaloriserons les salaires des techniciens. Avec 150 000 € : nous ferons tout cela et plus encore : essaimage national en pouvant salarier dés le premier jour nos responsables d'antennes.
Comment faire pour souscrire des parts sociales ?
Facile : vous cliquez sur le bouton Souscrire pour remplir un formulaire ,
La valeur de la part sociale unitaire a été fixée à 20 € pour permettre à tous de souscrire de manière symbolique ou soutenue, il n’y a pas de limites sur le nombre de parts.
A date la réduction d’impôts est égale à 25% du montant investi (au moins jusqu’au 31 décembre 2022), pour 2023 elle est à minima de 18%
Pourquoi cela a du sens de souscrire ?
Parce que c’est une des entreprises dont le projet participe à faire face aux enjeux environnementaux d’aujourd’hui et de DEMAIN.
Depuis 2016, Mon Repair’Shop est engagé dans l’économie circulaire.
L’implication de ses co-fondateurs, de ses salariés et des artisans a déjà satisfait prés de 3000 clients en moins de trois ans (particuliers, collectivités ou entreprises). L’entreprise trouve pleinement sa place dans les territoires où elle s’implante puisqu’elle permet de :
- générer des emplois locaux non délocalisables,
- réparer des milliers d’appareils électriques et électroniques,
- contribuer à la préservation de l’environnement en prolongeant la durée de vie d’appareils électriques,
- et permet aux habitants des territoires de s’équiper de façon responsable à moindre coût.
“Créer de l’emploi près de chez moi, ça profite à mon voisin, ça soutient mes commerces locaux, ça me profite.”
“Faire réparer plutôt que jeter, c’est préserver les ressources de notre planète et notre futur.”
Parce que vous renforcez notre crédibilité, en même temps que nos fonds propres.
Comme toute jeune structure, nous tendons seulement vers l’équilibre économique. .Nous avons le soutien de notre partenaire bancaire (Caisse d’Epargne Bretagne Pays de Loire ) et de France initiative qui nous suivent et nous accompagnent depuis le début de l’aventure. Aujourd’hui, nous avons besoin de VOUS : particulier, collectivité, Business Angel, convaincu ou en passe de l’être. Souscrire, c’est permettre de :
- sauvegarder les emplois créés,
- assurer la transition financière nécessaire entre la fin des aides publiques et notre équilibre,
- poursuivre l’activité en sauvant davantage d’appareils de la déchetterie,
- poursuivre le déploiement d’ateliers Mon Repair’Shop au niveau régional puis national sous forme de franchise sociale.
Bilan après deux ans et demi d’activité
L’humain au cœur du projet
Nous avons surmonté des difficultés, fait des erreurs, rencontré des personnes formidables qui nous ont soutenus, et avons tenu les engagements pris en 2019 :
- 4 salarié-e-s : merci Gwendoline, Natacha, Frédéric, et Sébastien pour votre engagement.
- un apprenti motivé : Noé, 16 ans, qui veut devenir réparateur et a trouvé chez nous l’entreprise idéale pour se former.
- 3 artisans indépendants qui ont pu se lancer (ou sécuriser leur activité), et progresser avec leurs pairs : François, Anthony, Eddy.
- 2 bénévoles engagés à Pornic pour que l’aventure devienne une “success story” sociale, circulaire et solidaire.
Du concret pour l’environnement
- Nous nous étions engagés, dans le cadre d’un appel à projet, à préserver 8 tonnes d’appareils en 3 ans.
- Nous avons triplé nos objectifs en remettant dans le circuit 28 tonnes de matières (réparation, reconditionné, et pièces détachées) sur 47 tonnes collectées en 2 ans et demi.
- Cela représente plus de 3000 appareils détournés des poubelles.
Et demain ?
Avec la souscription de parts sociales :
- nous continuerons à développer nos partenariats en B2B avec de grandes enseignes (Electro-dépot, Boulanger, But, etc.)
- nous alignerons nos tarifs avec ceux du marché, tout en restant le plus accessible possible pour tous
- nous continuerons notre développement sur le territoire. Une première antenne a été lancée à Pornic en 2022, avec des débuts prometteurs.
La porte est grande ouverte à celles et ceux qui voudraient reproduire notre modèle sous forme de franchise sociale.
Un peu d’histoire
L’aventure a démarré un beau matin d’octobre 2016
- 2016 – L’origine. L’enceinte Bluetooth d’Eric lâche, la faute à un composant USB dessoudé. Il la démonte, se rend compte que cela tient sur une carte d’à peine 1 cm² et contacte le fabricant. Réponse de ce dernier, “désolé mais désormais on ne fait plus cet article, nous sommes passés aux objets connectés et il n’y a pas de pièces de disponibles”. Suite à cet appel, l’envie de trouver une solution est née : il y avait surement quelque chose à faire ! Quelqu’un d’autre qui aurait la même enceinte en panne, mais pour une autre raison par exemple. Pourquoi ne pas faire une enceinte avec deux ?
- 2016 – L’étude de marché. Une enquête axée sur l’idée d’un concept de site internet permettant de trouver des pièces détachées de seconde main a démontré l’attrait du consomm’acteur pour ce type de service.
- 2017 – Incubation. Eric intègre l’atelier Pop-Corn des Ecossolies, qui est un pré incubateur destiné à “challenger” les idées les plus folles dans le domaine de l’économie sociale et solidaire. A l’issue de ce travail, se posent les questions du modèle économique et de la logistique pour collecter les pièces.
- 2018. Rencontres des acteurs liés au projet (collectivités, collectifs zéro déchets, chambre des métiers, etc.) , expérimentation et réflexion : comment collecter des appareils pour pièces ? Si on y parvient, pourquoi ne pas les réparer directement ? Le simple site web de ventes de pièces détachées devient “Mon Repair’Shop le comptoir de la réparation”.
- 2019 – épisode 1. Le projet murit grâce à de multiples rencontres. Elles permettent de valider la viabilité économique de l’idée de départ.
- 2019 – épisode 2. Une rencontre avec une collectivité débouche sur une proposition de participation à l’appel à projet Economie Circulaire de la Région Pays de la Loire. L’association de préfiguration de la SCIC Mon Repair’Shop est créée en juin 2019 pour postuler, et, surprise, le projet est lauréat en novembre 2019 !
- 2019 – épisode 3 : le tournant. A partir de décembre 2019, les choses s’enchainent : première embauche de notre fabuleuse Gwendoline, recherche d’un local pour la première implantation. L’atelier de Saint Hilaire de Clisson est trouvé grâce à Pierre-Alexandre en charge du développement économique à Clisson.
- 2020 – En février, le covid débarque en France. Toutes les démarches sont gelées et on réimagine le démarrage. A partir de fin avril, les annonces de déconfinement sont faites. Mon Repair’Shop signe le bail, finalise les embauches des techniciens, et lance une campagne de communication pour collecter les appareils en panne pour se faire connaitre sur le territoire.
C’est ainsi que l’aventure a commencé : une réponse aux besoins du territoire, loin de la société du “consommer plus” et proche du “réparer c’est mieux que jeter”
Qu’est devenue l’enceinte Bluetooth ?
C’est un comble !
Elle traine encore en pièces détachées dans un carton en attente d’avoir un peu de temps pour se pencher sur son cas. Les appareils des clients sont passés avant !
